Mesdames, messieurs, lecteurs et lectrices de cet ELL en pleine mutation, une question : faut-il vraiment avoir lu « l'interprétation des rèves » pour expliquer les aberrations visuels et auditives dont nous rêvons chaque nuit et que la plupart du temps nous ne nous souvenons plus ? Par exemple : on se surprend (dans le rève) à mettre de l'eau dans le réservoir de sa voiture et... que «ça marche » !... ou encore : on se retrouve à demi-nu en un endroit super-connu (le Wolu-Center par ex.) en train de chercher l'emplacement des toilettes ; tout le bazar au vent (dans le rève), on croise des gens connus et inconnus qui ne font même pas attention à votre tenue débraillée et finalement, vous vous réveillez juste avant l'irréparable : celui de pisser dans vos dessous décalottés ...euh... déculottés ! ! ...ensuite en vous réveillant tout à fait,(Ouf) vous vous apercevez que ce n'était qu'un rêve, ce qui vous oblige à, vite, vous lever vite fait, pour vite aller faire ce qu'il faut faire....
Donc : est-ce donc vraiment essentiel pour la suite de votre parcours terrestre d'avoir lu et compris Freud dans le texte ? Moi, perso, c'est la question que je me pose chaque nuit alors que je sais que ne me souviendrai pas, en me réveillant le matin, du quart de la moitié du reste d'un rève qui, à l'instant même où je le rèvais, était important, important jusqu'à me dire qu'il faudrait que je le note, ce que je ne fais pas évidemment !!! Dès lors, je me suis juré/promis de noter-noter-NOTER !...et de de ne pas oublier, au coucher, de préparer de quoi écrire sur la table de nuit en cas où je rèverais quelque chose d'essentiel la prochaine nuit pour l'avenir de l'humanité ! ...
Ce que, comme dab, j'ai oublié de faire évidemment, malgré ma mémoire d'acteur sur le retour dont on dit parfois qu'il ou elle, a une mémoire d'éléphant, tout ça parce que « il » (l'éléphant) n'oublie jamais celui ou celle qui lui a fait du bien ou du tort !......
...à propos, ça, ça se nomme un acte manqué !
Mais, en ces jour venteux qui nous décoiffe, ces jours ont aussi des aspects bénéfiques, comme de répandre le pollen fertilisateur, comme aussi celui de décorner les boeufs dit-on, et comme l'écrit Verhaeren, de raffler le long de l'eau les feuilles mortes des bouleaux... comme également de gonfler les voiles des coursiers sur la grande bleue, laquelle n'est pas spécialement bleue et, comme aussi, de faire planer ces droles de planeurs sifflant sur nos têtes levées vers le ciel en quète d'ovnis très drones!!!
Mais le vent ne se contente pas de faire tomber les dernières feuilles des arbres ( bouleaux déja cités) mais aussi les grues de chantier, les cabanes et cabanons, les brics et les brocs, emportant aussi les toits et tuiles. A contrario, peut-être pourrait-on reprocher au vent de ne pas faire tomber les gouvernements qui, après tout, n'en ont pas besoin, ils tombent tout seul, hahaha !!!
Il n'y a pas que les bourrasques et autres cyclones qui nous mettent la cervelle à l'envers...il y a aussi de longs instants ou la cervelle s'embrouille, quitte la piste, et nous fait perdre, si pas la raison, du moins la direction vers laquelle nous étions décidé d'aller et nous plongent dans des situations critiques de certains moments incertains : on ne sait plus qui est qui et qui fait quoi ! On croit que c'est untel alors que c'est une-telle, et puis après analyse et questionnement, on rectifie notre perception et on reconnait que une-telle n'était pas là, certes, mais untel, lui, était présent!... pas vraiment à l'endroit précis où on croyait le trouver mais, ailleurs, à un autre étage, et peut-être mème dans une autre section située dans l'annexe du bâtiment en rénovation auquel on n'a pas encore accès ! Bon, alors on cherche, on cherche mais on ne trouve pas le responsable qui pourrait nous expliquer pourquoi cet imbroglio est arrivé justement au moment où on croyait que ça ne devait pas arriver. Alors comme personne n'est pas vraiment au courant des nouvelles affectations, la chasse aux indices est ouverte et le moindre petit signe qui pourrait indiquer qui fait quoi et qui est qui, est précieusement noté, analysé avec un soin particulier qui devrait nous mener à de nouvelles pistes, toutes fraiches celles-là ...et qu'il suffirait de les suivre pour enfin découvrir, d'abord le véritable responsable qui a en tête toutes les données et puis, dans la foulée, qu'il nous dira où se trouve réellement celui qui fait quoi et qui est qui !... Hélas, on ne déchantera que plus tard , quand on s'apercevra de l'erreur d'orientation dû au vrais faux mauvais renseignements, pourtant tellement crédibles, qu'on les croyaient fiables, nous a fait perdre le sens de la bonne orientation. Comme quoi on peut se tromper !... parce que, on peut aussi avoir oublié d'avoir vu la personne qu'on cherche ! « Ah oui, maintenant je me souviens mais c'était à un autre étage ! »... et parce que c'était aussi un autre jour qui ressemblait point par point au jour dont on se souvient aujourd'hui, qui n'est pas tout à fait le même, et que c'est pour cette raison qu'on pose des questions à tous et à chacun, tout autour de soi et qu'on se demande encore maintenant, qui est qui et qui fait quoi !!! Mais on ne trouve personne qui possède le bon renseignement...
Et ça, c'est terrible ! On cherche toujours quelqu'un possédant la science infuse, une sorte de mage ou devin, qui sait tout sur tout, ou presque !...Celui qu'on accuserait volontiers de tous les maux et actes manqués de la terre, alors qu'il (ou elle) n'est là que pour nous renseigner ! Celui-lci n'est qu'un intermédiaire, un relais, et nous l'accusons parceque, sachant croyons nous, qu'il a le bon renseignement que nous cherchons, on l'accuse, on le croit responsable de ce qu'il nous révèle, alors que c'est faux ! D'autant plus que, si nous croyons qu'il a les bonnes indications, elles sont peut-être sans doute fausses ! Et de clamer après coup : « il s'est fourré le doigt dans l'oeil exprès ! Il aurait du savoir que ses allégations n'étaient pas exactes !»...Quoique, après réflexion, on reconnait avec réticence, qu'il fut quand même magistral dans cette façon péremptoire et décisionnelle qu'il a eu, de se tromper!
Par après, bien entendu, quelqu'un se plaint...et s'il y a plainte, il faudra mettre en route une enquête approfondie, des mises en demeure, des procès retentissants pour revenir à la réalité réelle, celle dont on est sûre, celle du bon sens, celle d'une certaine fraternité, d'une solidarité solidaire, et même d'une certaine façon, sans avoir l'air de rien, d'un pardon joint à une absolution sans réserve!!!
Tout ce fatras d'additions d'erreurs trafiquées, faites de fausses informations, ce monceau d'idées falsifiées nées de fausses allégations émises par quelqu'un qui n'en sait guère plus que les infos qu'il récolte, à droite, à gauche et au milieu, ne sont là que pour nous renseigner simplement, afin de savoir finalement qui fait quoi et donc qui est qui fait quoi, et qui-qui ne le fait pas !
À ce qu'il parait, les oublis et autres actes manqués foisonnent dans les cerveaux de milliers de personnes. On n'y échappe pas et c'est normal d'une certaine manière, puisque ça vient de l'inconscient ! Ha !!! hé oui, ça existe ! Freud Sigmund l'a entouré de lettres de noblesses, sans l'avoir vraiment découvert ! ...et s'il l'a dit et écrit, c'est que c'est vrai ! et si Freud l'a dit ce n'est pas Jacques qui le contredirait ! Je parle de Jacques Lacan, son freudien disciple of course. Quand Jacques à dit, c'est qu'il l'a entendu quelque part !!! ...Mais qui connait Jacques Lacan sinon les spécialistes, exégètes et autres psychanalystes ? Oui, amis des divans et adeptes des libres associations d'idées, croyez-moi et c'est une révélation : les voilà, les fameux intermédiaires que je vous citais tout-à-l'heure, ceux-la même qui ne méritent pas les accusations mensongères que le peuple lambda n'hésite pas à faire circuler dans l'underground des idées fausses ! Mais je m'oblige quand même à vous rappeler que les grands principes-clés de la psychanalyse sont : l'inconscient, le complexe d'Œdipe, l'interprétation du transfert, la levée du refoulement, l'analyse des résistances et l'émergence du désir. Et comme je le disais il y a un instant, quand vous êtes sur le divan, ça fonctionne sur le principe des libres associations...Mais comme j'ai bien trop peur de vous ennuyer, je n'abuserai pas plus longtemps de cette liberté que m'offre le cher Sigmund .
Non et pourtant, oui et non : on ne peut tout savoir et par contre, ce qu'il faut savoir...et en même temps, ce qu'il n'est pas nécessaire de savoir, (on n'est pas à une contradiction près), c'est que les nuages qui flottent dans l'atmosphère ne ressemblent à rien du tout sauf à des nuages, ... Mais parfois, oui parfois (donc pas toujours), ils peuvent ressembler à...euh...une femme nue, ou à la figure barbue d'un Dieu le père ou à un cheval cabré ou un tigre rugissant (alors qu'il feule) ou encore à je ne sais quoi qui nous fait dire que ça ressemble à quelque chose mais on ne sait pas trop à quoi, vu que le nuage a changé trop rapidement de forme qui ne le fait plus ressembler à quoi que ce soit de connu ou d'inconnu ! Et donc, amis et amies des belles lettres et de la culture, il nous faut citer le nom de ces apparitions taxée d'aberrations aberrantes !!! Ce nom est « paréidolie » ! Et donc virgule, la paréidolie est une expression de cette tendance du cerveau à créer du sens en assimilant des formes aléatoires à des formes qu’il a déjà référencées. Et pour donner consistance à cette définition, il faut savoir que le siège cérébral de la fonction permettant de déceler des formes, (voilà qui est extrêmement important pour la socialisation et le développement de l’espèce), se situe dans le lobe temporal. Voilà, vous savez tout !!!
Le paréidolie s'applique aussi pour les rochers ou les montagnes qui, de profil, suggère la tête d'une femme ou d'un oiseau, ou d'un petit cheval cabré ! C'est alors que l'imaginative imagination homosapiensenne dont nous sommes détenteur, afin d'expliquer et justifier cette ressemblance, concocte la naissance d'une légende où il est question par exemple d'une femme qui s'est battue jusqu'à sa mort pour la liberté de son enfant justement sur ce rocher qui, maintenant, lui ressemble !... ou alors c'est l'histoire d'un oiseau qui avait apporté à manger à un nourrison et qu'alors, il avait pris la forme qu'on lui avait découverte dans cette roche qui était devenue magique pour autant qu'on sache grimper dessus !!!
Bon vous voilà prévenu, si vous voyez des éléphants roses ou des girafes naines, ou des autruches géantes dans la configuration que prend, sous un certain angle, le profilage que forme certains remparts de la citadelle de Namur ou de Bouillon, arrètez de prendre des produits illicites car sachez que tout ça, ce n'est qu' illusion paréidolithique !!!!!
Oui, d'accord, je viens de l'inventer ce vocable, je n'en ai pas honte, pasque on a beau inventer des règles et prôner des interdits langagiers, la langue et le langage nous poursuivent depuis le moment ou nous sommes sortis du ventre de notre mère jusqu'au moment ou nous rentrerons dans le ventre de la terre, ultime demeure !
Ô combien nous sommes heureux et fiers d'entendre les « areuh-areuh » de notre dernier né, vagissant pour réclamer son biberon et comme alors nous le trouvons intelligent déja pour son âge ! Il tète, la gaillard alors qu'il n'a jamais appris à le faire ! C'est donc qu'il a la science infuse, le don inné du tètage, (ou du têtement?) quoiqu'il ne sache pas encore que pour marquer son contentement il pourrait trouver autre chose que de pisser dans les bras de sa nourrice au moment même ou on lui a mis un lange propre !!! Mais bon, on ne peut pas tout avoir ! Il a déja tout ce qu'il faut pour survivre : il sait brailler pour marquer son mécontentement, il peut séduire en produisant des sourires qui font fondre n'importe qui le regarde à ce moment là ! Et aussi, il peut aussi dormir ! Mais alors là dormir-dormir dormir ! Comme une souche !...impossible à réveiller !...Pourquoi ? C'est qu'il se réveille tout seul, ce moutard parce qu'il a faim et qu'il ne veut pas attendre 1 seconde de plus puisque c'est l'heure de sa pitance !!! Cela dit, on dit le moutard ! Mais si c'est une fille, va-t-on dire la moutarde ???...(dijon la gosse, huhuhu !)...Ha ! Ça vous réveille celle-là ! Croyez-moi, moi qui tente d'assouplir mon langage pour pénétrer votre synapsoïdale matière grise afin de vous faire apprécier mon point de vue languagier, ne vous rendormez pas tout de suite, c'est trop tôt, je n'ai pas fini....Car voyez-vous, c'est qu'il ne faut pas confondre l'assouplissement avec l'assoupissement en cas ou vous eussiez cru que j'essaierais autre chose de bien plus suspect, qui ne serait pas respectable !... alors qu'au contraire il est bon et même excellent, de persuader le bon petit peuple que l'articulation, le timbre et la prononciation des mots qui nous ont été inculqué par la culture régionale, cet endroit où l'on est né, où l'on a vécu, est nécessaire pour, longtemps après, quand vous serez de nouveau en rapport avec d'autres semblables contemporains, votre voisinage, ces personnes devraient et devront comprendre ce que vous aller dire, sinon vous serez fichu-foutu, mis au rebut et considéré comme une sous-espèce ne faisant pas partie des gens qui sont de leur bord...
Tous ceux avec qui vous vivez, dans la rue, dans les magasins, dans les trains-tram-bus, ces gens là sont ceux qui vous ont fait entendre l'accent régional qu'il fallait prendre quand il y en avait un à prendre. Cependant, si vous vous rendez compte qu'il n'y a pas vraiment quelque chose d'intéressant à prendre là où vous êtes, il faut aller ailleurs, là où croit savoir le savoir et où la connaissance est chose courante, tellement qu'elle est toujours bonne à prendre. Il faut aller là où on peut apprendre à apprendre, là où on vous donne parfois gratuitement, des choses qui conviennent à votre esprit, et qui peuvent et qui doivent être à votre service et qui vous servirons maintes et maintes fois fois au cours de votre existence !!!...Voilà un silence impressionnant, non ?...comprenez-vous ce que je dis ?......C'est bizarre, j'ai l'impression que je prèche dans le désert, on dirait qu'il n'y a personne ..........
Panique ! Non je ne suis pas le seul ni le dernier à jouer avec les mots, avec les lettres, avec les virgules et les points et les accents circonflexants ou même les-z-aigus et les graves!!! Hohohohoho !!! mais c'est que je n'ai rien inventé, bonnes gens qui tiquez et critiquez ceusse qui ne mettent pas les points sur les zi ! Ou qui z'oublient de mettre des zèss là ousqu'y fô-t-en mett' ! En mettre au mètre-ruban bien entendru-lulu ! En effet, déja, à un certain moyen-âge, il était un jeu très courant chez ceux qui savaient lire et surtout écrire...(au passage, rendons hommages aux scribes et autres gens de lettres, enlumineurs instruits de force par de bourgeois instruits, vassaux instruits par leurs nobles maîtres)...et bien, tous jouaient de la fatrasie couramment comme il se jouait de la flute à bec ou du pipeau dans les chaumières, les arts populaires glissant d'une classe à l'autre pour envahir finalement la société des bateleurs (préfigures de l'art du théâtre) qui passerons maîtres en la matière !!! La fatrasie, ce jeu qui se pratiquait dans la rue et ailleurs...Ha, la fatrasie !!! On lançait un mot ou un bout de phrase et il fallait broder dessus sans pour cela qu'il y ait signification ! Comme quoi par exemple ? Et bien voilà une piquée chez Wikipédia :
Bel homme sans tête
Pour faire la fête
Mangeait des cailloux,
Mais bête sauvage
Est qui l'en empêche
Un jeudi à Maux,
Et quatre ânesses sans peau
prenaient un très grand plaisir
À dérober leurs habits.
Une cuve en deux tonneaux
chantaient des chansons de geste.
Bien entendu, personne et surtout pas moi, ne va vous obliger à pondre des enchaînements de mots sans queue ni tête, ce n'est qu'un jeu ! C'est vrai quoi : au nom de qui au nom de quoi vais-je imposer une idée, la mienne, ou vous donner un ordre, un ordre à exécuter, un ultimatum sans discussion, sans dialogue ni réflexion, une injonction injonctive, un préavis avant la sanction, tel un désir qui ne soit pas nôtre, ou alors comme une trève, un arrêt obligatoire on ne sait pourquoi, et finalement imposer une façon de penser, de parler ou de se taire, de dire ceci plutôt que cela ! ...N'est-ce pas insensé que d'avoir un avis péremptoire indiscutable, énoncé au nom de quelque chose dogmaticable ! Je me demande sur quel prétexte fallacieux résultant de divagations délirantes, on pourrait dire quoi que ce soit qui serait accepté sans qu'il n'y ait d'autres alternatives ? Vais-je vous imposer ma façon de penser alors qu'il y en a tellement d'autres qui ne sont ni meilleures, ni moins bonnes...............
Par sagesse, reconnaissons que l'ordre et la discipline sont nécessaires si on veut vivre ensemble, en communauté, sans se disputer pour des sottises ! ...et surtout sans faire du tort à qui que ce soit !... mais ça ne veut pas dire qu'on soit obliger de croire que ce que croit l'Autre, le voisin-voisine, soit la seule et unique Vérité, qu'il n'y en aurait pas d'autres, de vérité !... et puis qui nous a dit que tout le reste n'est que mensonge, invention pure et simple ne s'appuyant sur rien ? A chacun sa vérité comme le disait Pirandello dans sa pièce de théâtre au même titre ! Tiens donc ! voilà de nouveau qu'on revient à la notion de théâtre ! Ah, le théâtre, l'expression de la cité ! Au fond, ce n'est pas si étrange que ça, puisque le théâtre, manifestation issue du bouillon culturel de la cité, est présent malgré nous, en nos esprits, et qu'il agit inconsciemment sur notre comportement social (on sent le freudisme derrière tout ça!!!!!)... Oh lala, il me semble que, comme acteur, je me suis donné le premier rôle : celui du donneur de leçon !
On dit toujours que la « fin » justifie les moyens ! Mais je ne sais jamais comment écrire le mot FIN...F-I-N ou F-A-I-M ? Parce que les deux sont possible, non ? Danc ce cas-ci, amis des finales en beauté, il s'agit de F-I-N !
Eh oui, c'est fini pour aujourd'hui, j'ai rempli mon contrat de remplisseur de page blanche! Non, je n'ai pas d'angoisse, non je n'ai pas attrapé la bronchite des neurones enfumées ! Oui certes, j'ai cherché la petite bête, mais je ne l'ai pas trouvée ! Et je ne soupçonne personne autour de moi, de petite taille ou pas ! C'est qu' il/elle pourrait croire que c'est d'elle ou de lui qu'il s'agit, et pourrait croire que je cherche à lui reprocher d'exister faute de lui trouver des poux.....et puis le doute s'insinue : c'est peut-être de moi qu'il s'agit, qui en guise de bilan, s'est lancé en une introspection de fin d'année ! Ah, moi-moi-moi : moi :l'agité de la matière grise, l'ébouillanté du cervelet, le collectionneur d'idées peu conformes ...moi, le loseur sachant loser, l'adepte de la perdition, le parieur pariant sur tout, ne gagnant jamais, et répétant à chaque tirage du Loto : la prochaine fois peut-être ? .....ah bon, ben alors : a pa peur