L’hubris est héréditaire.
Mots clés décroisés par Roger Avau, le 24 novembre 2016
Photo © Roger Avau
– Le sage ne cherche pas à se venger de ses ennemis ; il laisse ce soin à la vie…
– L’effort, c’est quand un rien-du-tout se prend pour un pas-grand-chose. (Paul Verhertbrugghen)
– je ne crois pas tout ce que j’écris mais tout ce que j’écris croît en moi (Louis Savary)
– Ce qui relève de la croyance est une expression mentale des limites de notre rationalité. (Gérald Bronner)
– Les choses changent quand elles changent dans la tête des gens. (Lazare Gousseau)
– Je me sens comme un jeu de mots fléchés.
– Si tout le monde vous donne raison, c’est que vous êtes d’une intelligence remarquable ou bien que vous êtes le patron. (Pierre Desproges)
– Avant d’écrire, j’observe. J’ai peur de manquer d’imagination. (Jacques Canut)
– Avoir un esprit mal tourné rend les conversations ordinaires beaucoup plus intéressantes. (À travers les mots & Entre les mots)
– Elle essayait de cacher ses yeux derrière ses larmes.
– La vie est un combat où la tristesse entraîne la défaite. (Kim Thúy)
– Lui dire que certains soirs je n’ai pas envie de rentrer chez moi, à cause de toute cette tristesse qui colle aux murs. (Delphine de Vigan)
– Selon le gouvernement, le futur de « nous donnons » est « nous prenons ».
– Le temps n’aide pas à oublier mais à s’habituer. (Agnès Ledig)
– On commence à fumer pour montrer qu’on est un homme. Plus tard, c’est pour la même raison qu’on essaie de s’arrêter.
– Il n’est pas question de livrer le monde aux assassins d’aube. (Aimé Césaire)
– Le travail acharné paie demain. La paresse est récompensée aujourd’hui.
– L’objet n’existe que par la volonté de son désir. (Raymond Rillot)
– Je suis né… (Autobiographie d’un amnésique)
– Un mot marche à voix basse (Michelle Struvier)
– On dit que ma folie nous a séparés. Je sais que c’est juste l’inverse : notre folie nous unissait. C’est la lucidité qui sépare. (Gilles Leroy)
– Aimer, c’est avoir envie qu’on ait envie de vous.
– En tout être humain, il y a un lac, a dit ma mère, une tristesse liquide que les oignons aident à vider. (Claudie Gallay)
– La bêtise, c’est une question de cocktail : le bon Dieu n’avait pas beaucoup de temps pour faire son monde, la distribution fut incertaine et inégale. Le prix à payer pour avoir Einstein d’un côté, c’est d’avoir un imbécile de l’autre côté. (Umberto Eco)
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