Le transhumanisme, une fatalité ?
Une édition originale Jean-Claude Cahen
Accepterions-nous comme une fatalité un transhumanisme du pire, s’il ne se réduit qu’à du business, qu’à un objet de pub, c'est-à-dire aux affaires et au marché? Dans ce cas oui, ce sera la dictature du pire si nous renonçons. … Je me bats précisément pour qu’il n’en soit pas ainsi.