L'affreux du Caire
Résumé du chapitre précédent : Au début était le verbe. Faut bien, sinon comment inventer des histoires? Hein Jean?
Ce verbe deviendra-t-il cher ? Non, Wich et moi, comme l’ensemble des collaborateurs d’Entre Les Lignes bossons à l’oeil depuis longtemps et peut-être pour toujours. Mais qu’est-ce qu’on se marre! De même, hormis nos lecteurs-mécènes qui versent un ‘tit kekchose pour notre bonne cause, cette histoire sera lue à l’oeil par nombre de nos amis. Quoiqu’il en soit comment lire autrement ?
Je vous le fais pas dire.
Ce n’est pas vraiment une BD, c’est un roman graphique. J’écris l’histoire comme elle vient, en la nettoyant un peu dans les coins, Wich la dessine comme il veut et je me demande où il va chercher tout ça. On se concerte, tout de même. Un peu. Mais globalement ça tient la route, ce qui n’exclut pas les dérapages. Contrôlés.
Attention! ça dure 64 pages. Au moment où vous lisez ces lignes, nous en sommes à la 8ème planche publiée. Nous en rajouterons deux chaque mercredi.
Notre ange tutélaire, Jean-Frédéric (il déteste qu’on l’appelle comme ça mais faut bien le distinguer du Jean dont je parle au début) se fait du mouron pour savoir comment tout ça va fonctionner, notamment sur le plan technique car c’est une première dans votre journal en ligne préféré. On le comprend.
Michel Noirret
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