Le départ
entre mes mains faites d’argile
la terre ne donne plus de vie
malgré mes mains fortes agiles
je n’ai plus que mortes envies
le ciel pour moi est un désert
comme moi ils perdent l’espoir
entre sable et soleil ils errent
filles et fils d’une histoire
où trimer ne sert plus à rien
le sol est sec et tout acide
alors partir soudain c’est bien
partir c’est bien mais qui me guide
par la mer c’est la mort qui vient
par le rêve un tendre suicide
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