L'interdictation délirationnaire de la stationnarité

A PA PEUR

Par | Penseur libre |
le
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Mayday ! Mayday ! Alertalarmalairte !

Armez l'arbalète alerte, bourrez-la de poudre d'alarmachrôm-ozones !

Circonspectez-vous au niveau des synapses !

Constructivez la lorgnette et défiévrisez-vous des circonlocutives valvulaires cerclosemi-temporelles !

Brutalisez la roucholotte tremblotorative qui n'a plus que l'antique climatosaurien pour ératiquationner les estomastikateurs dépourvus de bourdonnantes et scintillationnantes sonnatinnes polairisées, quoique désciatiklationnées à chaud par delà même de ce que vous auriez pu penser, plongé que vous êtes, dans les puantes buanderies béantes inférieuses aux banderilles fignolériennes d'incohérissantes facondes balbutiatoires morphinoïdales...et ce, malgré vos aberrationnantes adhérences abscientisantes si pauvres en sentenciations, mais tout aussi dépourvues du sens des essences à mi-érection du non-sens, en raison d'une injustificationnarienne désinitiativore.

Voilà au moins une système justofractionnaire qui devrait forcer vos synapsoïdes à revoir, dans le sens des aiguilles d'une montre qui fonctionne à l'envers (sans avoir le pouvoir d'indiquer l'endroit impliqué par l'aiguille d'alimentation suraimantée), ce qu'on sait dire (ou qu'on ne peut pas faire) tout en les traduisant en ricanations sournoises, canines dehors/venins dedans !

Prendront-elles la direction de l'Enfer des sens, ceux qui creusent, sillonnent, éventrent, fractionnent, disloquent, bousculent et détruisent très souvent les trops nombreuses désimplications dues aux frissionnements des nations vôtives qui vous remplissent la gorgelette, et qui gourmettent directement à l'alautour des papilles de la langue gourmande, laquelle vibrillionne de la glotte en des rugissements glossolaliques merdiélogieuses, sans pour cela que d'informes informations disloquées ne vous fassent faire le pas de coté, ne recularant tout devant/derrière, rien derrière/devant qui pourrait suggérer que la mauvaise habitude de goiser pour ne rien dire, ne vous ferait pas avaler de travers cette fois-ci, couleuvres y compris !

Il faut bien que génienesse se passe de commentaire !

Oui, et bien justement : comment taire le commentaire ?

La bwonne qwestionnerie de la justice justificative n'abrogera jamais qu'une simple hasardination bien huilée puisse convolationner en de baroques noces, à moins qu'un système délirationnaire perçe, en tympan dessus, la cuirasse entourant le stationnaire enveloppement protectional et pénètre avec d'effroyablactionobles de si tendancieuses mèchedemèches (diam.11,75) en une tournoyade vrombrissatoire et mirlirifilique désabusement !

Et voui, vouala ! C fé ! On n'a plus qu'à laller dormir navecque l'oreillillé sourd lé dézorailes !

On n'a plus qu'a se laisser crumantévorer par la crètique qui feraillera en productorant hune reine de bouchbée laquelle, en bon lapereau débouch'lappera son flocon de protonton surpolotionné et ferra sursautérationné le bouchomme, millésimé pursangbleu, afin de mettre cavalièrementhalo (qui a la sampareille?) pour s'en pouffrer derrière la kracravasavate, à qui mieu-mieu, oui mieu-mieux, sta dire en pétant et répétant qu'on ne lui fairatabac dire mafoideux, queue la berdouille c hun dailivicieux sucramieux cracranullard moisissieux !

Ha !Rachantantéplus les cérémoniaux oscarcisés hors des normalisationnements décatisationaires pourtant discloratives, attendu queue les gourbis d'alternatives existenciellaires ne coexistent qu'en de vulgarationations subjaictivantes qui sillonnariaient la modernation des formatisationnements délirastationnaires !

Au niveau d'une rubrique qui pourrait s'imbriquer avec fascilitation dans les méandres geo-politolo-linguisticoïdes, il serait fascile de faire croire à la Gotharie glapissante en place, que les sujétionnements traités dans cette écriture ne serviraient qu'aux délires biscornutés et triviaulonlaires qui se protopulsent indirectement in vitro sans aide aucune, en la valvuration équivoque sans qu'on lui ait demandé quoi que ce soit, qui s'annoncent à grands moulinets de diverses membrures en règle de cotisation, tout en situant et en réclamant le vérificationnement immédiat de la pureté intentionnelle des inhibitions rhédhibitoires, parcellaires et/ou synthétiques.

Oyez, oyez ! Vous qui êtes de pureté intentionnelle, avez-vous souscrit aux délires derniers ces tous derniers jours-ci, avez-vous cautionné l'expérimentation fallacieuse des zozohistoriennacées face aux déclarations spéculatoires dues aux rayonnements abstraits qui sillonnent sans coup férir, (mieux vaut en rire qu'en pleurer) les grandes surfaces en grèves de zèle sans trop se préoccuper de l'accouplage succint accompli hors des frontières éventuelles qu'on pourrait y instaurer ?

Foutre diable, que la quequette de la solidarisnoshka soit vite mise à l'abri de son prépuce méritant, que la hautotoritaté du triumph de l'invaincu du trou, mais sans gloire, marque de son fer rougi à blanc, les vaisselles gravées et dépravées à grands coups de torchonnades et que s'exhausse la proue d'hier darivarer à l'heure d'un horaire enfin publié ! Telles sont les dernières instructionnantes triades des toutes dernières scènes ou il apparait que le pôvr'amourasseux retombe dans les bwonn's grâsses des délirassinantes prinçaprout'cesses émerveillassées de ne plus s'extasier sur la face crapaudienne du prinçaproutcharmeu...

C'est alors qu'on se demande vraiment ce qu'on en a à foutre des mignardises orthographieuses, des places prépondérantes du sujet et des intentionnels et successifs points-virgules, des accords désaccordés du subjonctif quand le complément d'objet indirectement direct est mis à la sauce Sollersinienne (paix à son prépuce).

La question restera d'actualité pendant encore longtemps et les réponses que les adeptes inadaptés adoptaient et réadopteront toujours sans faiblir, en brandissant leurs « tout à leur gout », ne manqueront pas de susciter des bordées d'injures, des huées d'exclusions, des jets de crachats sanguinolents, joints aux salades de pommes blètes mélangées au oeufs pourris mixés avec le purin fétide de porcs puruleux élevés aux confins des vallées sulfureuses, berceaux de volcans éruptationnaires en perpétuelles éjaculationnements.

« Vous ne me faites pas peur ! » disait S.W. ...

et ben moi non plus ! ........

« a pa peur »

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