Astiquer pour mieux reluire

A PA PEUR

Par | Penseur libre |
le

Photo © Robert Lemaire

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Lecture 18 min.

Mesdames, messieurs lecteurs et lecteuses d'Entre les lignes, savez-vous les effets sur le mental, des ondes internétiennes (à la tienne), vu que les choses les plus invraisemblables se diffusent tous les jours à notre reconnaissance, et que des informations les plus insolites sifflent sur nos têtes alors qu'on ne bronche même pas ! A croire que plus rien ne nous étonne ! Nos oreilles perçoivent souvent la vérité insensée de situations quasi burlesques que, pourtant, nous considérerions d'une banalité écoeurante en d'autres circonstances. Mais le label fèces de bouc ou tikétak-et tok leur donne le plus souvent une apparence de véracité légitime! Mais voilà: une autre vérité est que nous ne réagissons plus à ces provocations qui devraient nous sauter aux yeux, qui devraient nous faire bondir hors nos gros sabots et qui devraient sans nul doute, provoquer en notre bonne conscience, des exclamations de réprobation sinon de dépit, face à la lenteur des réactions officielles du pouvoir en place. Mais, las, nous sommes, nous les humains trop humain, devenus indifférents à l'incongruité de certaines situations audacieuses, si pas scandaleuses !...L'ultime vérité est que nous sommes soumis !...et que nous admettons l'improbable et le délire infernal de certains faits et gestes de nos contemporains, parce qu'une certaine cécité inconsciente de notre petit cerveau d'homo-sapiens, blasé de ces avalanches d'informations quasi impossibles à trier, nous forcent à ne pas voir et à ne pas analyser ce qui, en d'autres circonstances nous obligeraient, pour ou contre, à prendre position ! Et bien non, je ne citerai pas en exemples croustillants, les absurdités telles que nous les vivons au quotidien...Sans être paternaliste, j'aimerais quand même vous convaincre de ma bonne foi et de la réalité de mes allégations ! Je n'ai pas de conseils à donner ni de marche à suivre pour vivre une vie satisfaisante, une vie faite de bonté et d'humanisme, une vie exemplaire qui ferait l'envie des autres : c'est à dire vos amis/-ies, vos voisins/-sines, vos collègues/-lègues ! (les autres quoi)... ce qui, en y réfléchissant bien, vous mettrait dans la position d'un donneur de leçon, ou qui flatterait votre égo nombrilique! Alors, s'il ne s'agit que de ça, mon conseil pour se faire valoir, d'être admiré ou haï, de flatter son petit Narcisse érectil, rien de tel que de plonger dans la fange des actes répréhensibles : faire un mauvais coup !...dévaliser une banque, vider une maison quand le locataire est absent, arnaquer des pensionnés, voler à vélo-électro ou en trottinélectro, les sacs des vieilles dames, ou encore carjackiner une Mercédes ou une Bé-Hem.....d'autre part, par mauvais coup, notons spécialement que : être en excès de vitesse peut vous rapporter une notoriété spéciale, autant si pas plus, que de piquer quelque chose dans un grand magasin! Cependant, on peut dire aussi que ce qui est le plus satisfaisant, au niveau de la notoriété, c'est le crime de sang, l'assassinat crapuleux, surtout celui par lequel on est qualifié de sérial-killer ! Ça, c'est le nec plus ultra !!! Produire des horreurs sanglantes en plusieurs exemplaires avec la même procédure, grâce auxquelles, on (les flics) découvre que c'est vous l'auteur, bien entendu...Mais, si vous échappez à la justice, c'est que vous avez minutieusement cachés les détails avant et après vos forfaits, ces assassinats qui vous procurent des érections fabuleuses! Recherché mais encore libre, vous resterez alors dans l'ombre, insoupçonnable, impuni, personne ne connaitra vos exploits même si vous avez eu soin de garder un petit souvenir (une petite culotte, un oeil ou un doigt de pied) à chaque fois !!! Cependant, si vous êtes découvert (car pour défier les enquêteurs vous aurez laissé trainer un indice capital) et que vous êtes attrappé à votre soi-disant grand étonnement (il faut bien que la gloire soit reconnue), il y aura un hic : certes on parlera de vous pendant un certain temps, proportionnel à la durée de l'enquète, mais dès qu'on vous aura capturé, qu'on vous verra dans les infos à la télé, ça ne durera jamais très-très longtemps...car ça ne dure que jusqu'à la fin de votre procès asserti de la condamnation maximale! Après cet médiatisation à outrance, une fois que vous êtes en tôle, il n'y aura plus qu'un nombre restreint de personnes qui vous admireront ou qui vous haireront-ron-ron patapon !... c'est à dire vos co-détenus de la prison où vous irez purger une peine, la vôtre, à perpèt of course !!! Mais qu'est-ce que c'est que ces mines réprobatrices ? Alors comme ça, vous croyez que je suis en admiration devant les méfaits des bandidos et autres gangsters, que je suis pantois face aux détrousseurs de voyageurs distraits ? Vous imaginez que je suis jaloux de la dextérité des voleurs de pommes, ces pick-pockets qui vous délestent de votre Rolex ou de votre porte-feuilles bourrés de billets de banques suisses ? Vous êtes dans l'erreur amis et amies de l'honnêteté et de la probité ! Vous vous méprenez sur ma façon de voir l'opprobe et le forfait en face ! En fait, c'est la Vérité de l'existence de ces êtres abjects, que je veux exprimer...il ne faut pas taire l'omniprésence de ces malfrats en tous genres, et il est bon d'être attentif, méfiant et sur vos gardes vis à vis de ces gens-là qui n'hésiteraient pas à vous frapper, à vous assommer, et même à vous trucider si vous refusiez de céder à leurs menaces, si vous tentiez de résister à leur violence...oui, mesdames et messieurs, la violence est partout et elle est surtout là où on ne l'attend pas ! La gloire que le criminel retire de ses actes malfaisants est d'une telle intensité qu'il est rare qu'un de ces abrutis n'en soit pas satisfait, même s'il risque la prison à vie, ou pire, comme dans certains états des USA, l'exécution, la mise à mort.....Surtout ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, la peine de mort fait partie de la dure loi des hommes, « oeil pour oeil dent pour dent », mais personne n'est obligé à être d'accord avec la décision de cette justice expéditive.... C'est sûr qu'il n'y a pas que le crime de sang dans nos sociétés, qui procure éventuellement une satisfaction narcissique...le crime ne paie pas, c'est bien connu et les assassins ne sont pas toujours ceux qu'on croit ! Il y a aussi, dans ces catégories d'hommes et de femmes à l'âme aussi noire que du charbon de bois, qui ont sur la conscience la responsabilité de massacres fameux, ceux qui laissent des traces indélébiles dans l'histoire, petite ou grande ! Souvenez-vous du procès de Nuremberg qui a condamné bon nombre de dirigeants nazis !!! Et curieusement, ce sera le nom d'Adolf Hitler, (absent au procès mais excusé pour cause de suicide), qui restera inscrit dans l'histoire contemporaine comme étant le responsable d'une guerre qui fit plus de 60 millions de morts...et en plus, il fut tout aussi responsable de l'érection des camps très justement dénommé « camps de la mort » !...à ce propos comment se nommait cette femme qui collectionnait des morceaux de peau tatouée pour servir d'abat-jour, des peaux de prisonniers du camps de concentration de Buckenwald, morts sous d'affreux tourments ?..... C'était Ilse Koch, mais oui bien sur, je m'en souviens maintenant, l'épouse de Karl Koch, qui était à la tête du camp de Buckenwald ! J'ai vérifié, merci Wikipedia !!! Certes le crime ne paie pas, mais dans ce même ordre d'idée, on ne connait pas, ou peu, le nom de ceux qui ont maltraités hommes et femmes arrêtés arbitrairement sous la dictature chilienne du général Pinochet, soutenue par les USA ? Tout comme on ne connait pas ceux qui ont torturés les algériens pendant la guerre d'Algérie ! Eh oui, mesdames et messieurs, nous ne connaitrons jamais le nombre et les noms de ces hommes et femmes qui ont cru satisfaire leurs bas instincts, leur narcissisme primaire en exécutant des actions d'une incompréhensible violence...tout ça devrait nous plonger dans une tristesse indicible qui restera d'une intrication sans nom dans l'histoire de l'humanité, dans laquelle pourtant, nous sommes nous aussi, inclus, qu'on le veuille ou non ! Revenons à l'actualité : voilà que le printemps nous poursuit de ses assiduités, voila que le terrre tourne sur elle-même et autour de ce furonculeux soleil qui, comme d'habitude quand il pète, augmente la température sur terre!...mais ça n'empèche nullement la venue des veaux de mars avec ses grelons, ses pluies intempestives et heureusement aussi, les pépiements des petits zozieaux qui volent les uns après les unes et cherchent à construire un nid (le leur) afin de fonder une famille ! Chez nous, les humains, femmes et hommes se lancent des oeillades, les adolescents poussent en hauteur et jouent des mécaniques, le poil des barbes poussent, l'acné envahit les visages, les poitrines plates des gamines se gonflent, les slips sont tout à coup trop petits, la voix cassée de la mue s'affermit chez certains et les vieilles pin-ups se redressent un peu, en croyant que ça suffira pour faire croire qu'on croie mordicus qu'elles rajeunissent... Les inspecteurs introspectifs en pleine introspection déduisent qu'il y a du changement climatique dans l'air et peut-être des tsunamis en formations serrées sur les hauts fonds ! Les esprits bornés s'ouvrent tout à coup et découvrent stupéfait(e)s qu'ils (ou elles) commencent la première journée de ce qu'il leur reste à vivre et, conscientisé(e)s à fond la caisse, décident d'appliquer la motion « carpe diem » à toute berzinque...rappelons que « carpe diem », ces mots d'Horace, rappellent que sur terre, la vie est courte et qu'il faut se hâter d'en profiter. Amis terriens et terriennes de tous les pays, on se demande vraiment pourquoi, même si l'incongruité de la vie apparue sur terre il y a bien longtemps, ne nous a-t-elle pas été plus favorable au quotidien durant tous ces millénaires ! (j'allais écrire «chaos-tidien») ! D'autres parts, la signification de ce que certains nomment le destin (cette manifestation existencielle) ne nous vaut, nous les humains et autres êtres vivants, que de désagréables instants insupportables en prenant conscience de leur nuisance et de leur puissance destructrice ! Pouvons-nous accepter la douleur physique ou psychologique d'une vie entière avec résignation en espérant qu'une autre vie ailleurs sera comblée d'un bonheur extatique? Les êtres humains ont cru bon de croire en des dieux monstreux créateurs narcissiques, qui frapperaient l'imagination de toutes les catégories de la population, et forceraient le respect et la crainte ! Ces monstres divins s'attendaient-ils à ce qu'une adoration sans réserve leur soit réservée, alors qu'une révolte en puissance sourdait en cette population d'hominidés gémissante, courbée sous le poids de mille maux ? Que croyaient-ils ces monstres aux diktats sans scrupule ? Qu'il suffisait qu'une sorte de logiciel installé en chacun et chacune d'entre-nous, procurerait un bonheur in-inclusif, malgré les invraisemblables souffrances que des adeptes éclairés et soi-disant visités opportunément, et mis en communication directe avec ces dieux, taisaient soigneusement? Croyaient-ils, ces dieux, que nous allions les remercier tout bonnement, les adorer, malgré les souffrances que notre vie, sous leurs conditions, nous feraient subir? Si tel fut le cas, si notre existence fut tributaire de ces aberrations, alors pourquoi serait-il question d'accepter ces états permanents de contraintes ?...et il ne sera pas question non plus de considérer ces entités improbables, soi-disant bienveillantes, comme étant « bonnes, miséricordieuses et même adorables », comme si la promesse d'un paradis indolore, plaisant et jouissif suffisait pour étayer leurs existences..... Et puis, nom d'une brouette de déchets toxiques, ne pourrait-on pas avoir du plaisir dans la vie et rien que du plaisir ? Qui pourrait me donner une réponse à cette évidente question, quoique angoissante ? Cher monsieur, disent les psychologues, la raison est, qu'à force d'avoir le plaisir du plaisir en continu, on s'en fatigue et on s'apercoit alors que c'est lassant d'avoir toujours le même plaisir à chaque instant, sans discontinuer,!... Je vois déja ma voisine d'en face, qui a trois gosses et un mari, qui s'exclame : « Ah zut alors ! Encore cette histoire de plaisir perpétuel? D'accord, j'ai pris cette option sur Amazone, mais c'était pour voir comment ça serait ! Alors maintenant que j'ai ce truc qui n'arrète pas de continuer, ça commence à bien faire, si j'ose dire! j'en ai marre de jouir toutes les 3 secondes, ça m'secoue de partout, et je ne sais plus rien faire d'autre ! (je rectifie: on dit je ne peux plus rien faire d'autre)...Il faut que ça s'arrète, continue-t-elle, pasqu'il faut que je fasse la vaisselle, que j'aille au boulot, que j'aille chercher les gosses à l'école, que je remplisse ma feuille de contribution, et que je passe à la banque porter les virements... et puis faut qu'j'achète de la nourriture pour le chat, pour le chien, les vaches et le cheval, et puis aussi pour mes enfants, mon mari et pour moi !!! Je m'répète : quand j'ai du plaisir tout le temps, ça m'empèche de faire ce que j'ai à faire !!! »... (en fait, cher-z-amis de la lecture sur Internet, si que quand qu'on réfléchit bien, ce qu'on a à fére devrait plutôt servir à-z-avoir du plésir de temps en temps, et pas l'inverse !)_« C'est pas que j'aie du déplaisir quand je ne ne jouis pas, continue-t-elle, c'est que ce n'est pas la même chose que « d'espérer » avoir du plaisir ! s'énerve-t-elle. C'est qu'à même pas compliqué, sacré nom d'un sac d'engrais : j'me réjouis d'avoir du plaisir quand j'ai envie d'avoir du plaisir ! Si on m'impose le plaisir au jour dit et à heure fixe, alors on ne fait pas bien ce qu'on a à faire (quoique si on fait mal son boulot ça n'empèche pas que c'est bien aussi d'avoir du plaisir) tout ça parcequ'on se dépèche d'avoir fini le travail pour être sur d'avoir le plaisir payé d'avance sur abonnement, à l'heure qu'on a fixée pour avoir du plaisir, merci amazone !... vous pigez?.....Si vous ne comprenez pas, faut p't-être que j'essplique dans l'détail, nom d'une casserole à pression? » Faute de chercher et de dénoncer la vérité de la réalité dans la vie de tous les jours, on ne cherche que ça, le plaisir facile, immédiat !... ! On ne cherche qu'à avoir du plaisir : le plaisir de se réveiller en pleine forme le matin, de prendre un p'tit déj. copieux, le plaisir d'aller au restau, de prendre l'apéro, de boire du bon vin, le plaisir de marcher dans la forèt ou à la campagne, le plaisir de respirer l'air pur de la montagne, ou de la mer, se goinfrer d'iode et d'oxygène sans se gèner, sans peur qu'il en manque aux autres, le plaisir aussi de voir une bonne émission de télé, ce qui est de plus en plus rare... (faut attendre le bon moment pour mieux savourer la bonne émission qui ne va pas manquer d'arriver!)... c'est l'attente qui augmente le plaisir, et les bonnes émissions, on peut se les enregistrer et les repasser plus tard ! C'est comme le porno, si que quand qu'on en regarde tout le temps, on s'habitue au stupre et à la fornication, on y devient indifférent, ça ne nous touche plus de voir les galipettes des abrutis qui font ça pour du fric et qui, eux, non pas le même plaisir que nous qui les regardons fricoter ! D'ailleurs le porno, quand qu'on en a vu un, on en a vu cent, puisque c'est chaque fois la même chose que de mettre « une brosse à un balai » (James Joyce) et ça ne nous fait même plus envie, vu que c'est presque dégoutant et que au fond, ça ne nous concerne pas vraiment ! Mais ça nous incite sans doute à aiguiser notre désir permanent de nous reproduire ! Aaah , avoir une relation intime avec un, une ou des partenaires, voila un vrai plaisir tout à fait renouvelable ! Et si on est honnète avec soi-même, ça ne sert qu'à ça : la copulation, ça ne sert qu'à se reproduire ! Pas à chaque fois non, mais sur le nombre, il y aura bien une fois oùsqu'on tombera pile au bon moment pour que la petite bête s'introduise là où il faut qu'elle aille, et pénètre titiller l'ovaire peinard, qui n'attend que ça !!! Oh ben oui qu'c'est comme ça ! On se reproduit tout naturellement comme une photocopieuse sophistiquée ! C'est pas nécessaire de chercher le mode d'emploi ! Cependant, il faut savoir, ce faisant, qu'on se met dans une situation sociale bien déterminée : en copulant à toute berzingue, on va finir par fonder une famille et faudra bien inculquer aux enfants, par l'exemple et l'éducation, cette même passion instinctive: celle de se reproduire, pour que, in fine, les enfants fassent la même chose... il faut leur faire savoir que ce sera plaisant ! Du plaisir, rien que du plaisir que, eux aussi, peuvent en profiter, c'est gratuit ! Malgré certains inconvénients que nous connaissons bien, nous, les vieux de la vieille... Inconvénients dont je m'abstiendrai aujourd'hui, de dénoncer et d'énoncer la nomenclature de z'A z'à Z !!! Après ces paroles d'une sagesse infinie (je m'étonne moi-même), je pense qu'il est temps de refermer ce livre de la sagesse du plaisir, que je viens à peine d'ouvrir! C'est qu'il est temps de passer à autre chose, ça ne sont pas les sujets qui manquent ! .... L'arme à l'oeil , plein de regrets que ce soit fini, je vous dis au revoir, So Long, Bye-Bye et à bientôt pour que, le mois prochain, sans se découvrir d'un fil puisque nous serons en avril, nous serons tous présent sur le plateau de la vie Entre les Vignes (haha), pour accomplir nos destins d'écrivain et de lecteur-trices qui (quoiqu'on ne le sache pas encore) seront des moments inoubliables à inscrire au patrimoine mondiale des billets de bonnes humeurs d'humeur ...c'est pouquoi a pa peur

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